dimanche 30 août 2015

Jeudi 28 mars 2002 : La Bridoire – Attignat-Oncin.

A 10h30, je quitte La Bridoire par un sentier qui monte à la cascade du Grenant. C’est une résurgence. Il fait frais dans le vallon : la végétation est spécifique des milieux humides et frais (fougères). Je continue mon chemin et, contournant une propriété, je franchis sur un pont étroit le ruisseau du Grenant. De magnifiques marmites de géants ont été creusées par le torrent et poursuivent leur évolution sous la force du courant.


Le ruisseau du Grenant


Par un chemin raide, le GR parvient sur le plateau des Roches et se poursuit en bordure de forêt. C’est là que je me trompe de direction et continue tout droit. Midi carillonne à l’église de St-Béron : diable, je n’ai rien à faire au-dessus de ce village, ce que me confirme la boussole ! Je rebrousse chemin, retrouve le GR et remonte en forêt en direction de l’est. 
Bien qu’encore géologiquement dans le massif jurassien, je pénètre dans le parc naturel régional de Chartreuse.
A partir du Gorgeat, je chemine sur une petite route bordée de pâtures qui me mène à Attignat-Oncin, petite bourgade au pied du mont Grèle, dans la montagne de l’Epine. Viviane m’attend à 12h45 sur un parking en bas du village. Ce sera tout pour aujourd’hui. Je vais faire une pause.

Nous allons manger dans la nature.
Dans l’après-midi, nous faisons route vers Chambéry pour quelques achats. Nous revenons par le col de l’Epine. Nous passons la soirée et la nuit dans un camping à la ferme, à Saint-Franc. Là non plus, à cette époque, on ne nous attendait pas. Les agriculteurs vont devoir nettoyer les sanitaires…

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